mardi, mai 31, 2005

Retour d'expérience Vendôme

Voici quelques observations personnelles qui n'engagent que moi... mais si cela peut vous servir...

Sur l’entrainement :
Natation : les séances spécifiques d’allure que j’ai effectuées cette semaine ont été un plus (4x400 – 2x800 allure LD – 2x1000 allure LD)

Vélo : les séances avec un braquet un peu plus long et vent de face m’ont permis, je pense, de ne pas me sécher les cuisses et d’avoir un peu de puissance dans les côtes.

Cap : les séances clés ont sans aucun doute été les séances au seuil (3x7’ puis 3x9’ et enfin 3x12’) qui m’ont permises de bien terminer le second tour et conserver la vitesse.

Enchaînement : les quelques séances 2H vélo soutenu ou 1H vite – 1H cap avec 25-30’ en endurance « + » qui correspondait au final à ma vitesse sur le semi de Vendôme. Mais pour moi, courir après le vélo ne me pose pas de problème, c’est même super agréable.


Alimentation :
Avant : petit déjeuner copieux 3H avant. Et un bidon de malto pas trop dosé jusqu’au départ.
Je pense m’être alimenté au plus juste sur le vélo en liquides. Ca passe sur un MD, mais ça ne serait pas passé sur un LD. J’ai pris 1 bidon 800ml de malto+hydrixir et 1 bidon 600ml d’eau pure (qui m’a servi en partie à me rincer après mes séances pipi).
J’ai ajouté à cela :
- 1 gel antioxydant au départ
- 1 gel elixir for mi à mi parcours
- 1 barre énergétique (55g) en 3 fois
- 1 gel antioxydant en fin de parcours.

Pour la cap : j’ai juste pris un coup de fouet au début du second tour et j’ai tourné au coca à tous les ravitos ( un peu moins de 10cl tous les 2,5kms).
C’est très bien passé ainsi, ce qui me fait réfléchir sur la façon d’aborder l’alimentation sur le marathon de l’IM.

Petite remarque : je me suis baffré (liquide et solide) à l’arrivée, et dans la voiture au retour. En arrivant, il me manquait encore 2kgs…

Divers :
Je me suis cramé le coup avec la combi… j’ai oublié de mettre de la crème…
La position cambrée avec la combi m’a posé des problèmes sur le premier tour vélo (douleurs aux lombaires). Mais puisque c’était ma première natation en orientation j’ai passé beaucoup de temps en nage polo… ce qui explique peut être cela… La solution : faire quelques étirements et auto-massages sur le vélo.
Je bois beaucoup, je sue beaucoup, je pisse beaucoup, et comme ce n’est que de l’eau, je ne complexerai plus à l’idée de mouiller mon cuissard sur une course.
J’ai perdu ma pompe qui était dans ma poche arrière… à l’avenir je la fixerai sur le cadre.
J’ai une douleur récurrente lors de mes transitions vélo-cap située juste sous la cage thoracique à gauche (juste en dessous des côtes flottantes). J’arrive à la faire passer au bout de quelques kms en effectuant de grande inspirations-expirations en penchant le buste en avant pour me décontracter.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

J'ai souvent eu ce type de douleurs, qui se produisent uniquement en triathlon durant la course à pied. Mais je n'ai jamais trouvé de site qui expliquait d'où ça pouvait venir.