Je m'interroge de plus en plus sur ce point.
Je vois beaucoup de triathlètes qui, pour préparer un IM, privilégient le volume. J'en ai d'ailleurs fait parti.
Aujourd'hui, par obigation, j'aborde une autre voie : séances relativement courtes mais sollicitations (très) importantes.
Quelle est la réelle nécessité au fond de faire de longues séances?
Est elle davantage phychologique que physiologique?
Est il possible d'entretenir et développer de bonnes capacités sur du long en ne faisant presqueuniquement des séances de développement de la vitesse (ou PMA), de la force, de l'explosivité et de la résistance (20' de cap à bloc après 1h30 de VTT à bon rythme ou 1H de HT avec du travail de PMA)? Et en gardant quelques sorties longues en vélo (4H avec 3x40' allure IM "+"*-20' allure MD"+") ou enchainements 4H vélo (3H CLM)*1H cap (2x15' seuil)?
En fait, ne fait-on pas du volume parce qu'au final "ça marche" et que ça rassure... en plus d'être moins difficile physiquement et phychologiquement (savoir que l'on va se mettre minable au moins 4 fois par semaine, il faut le vouloir!)?
Quel est le vrai équilibre intensité-volume pour préparer du long?
Voilà quoi...
Réponse dans quelques mois pour vous dire si ma nouvelle approche donne des résultats.
Pour le moment ce qui est certain c'est qu'après 3 semaines de HT j'ai de bonnes cuisses en VTT :)
13 commentaires:
Ca se discute :)
(sauf pour les cuissous en VTT)
/M
y faut y pédaler, c'est tout...
Après moult tergiversations identiques et cherchages variés sur tous les forums de la planète, mon idée sur la question est que :
-l'intensité, ça y en a bon pour avoir un rythme cardiaque le plus bas possible (ou la vitesse la plus élevé possible) pendant une épreuve...
-le volume, ça y en bon pour reculer la limite de dérive cardiaque ou de lachage musculaire(i.e. le moment où bien que le palpitant soit à l'aise blaise...ben...tu peux plus arquer quand même...)
w.\\ftg m'a parlé d'une méthode d'entrainement d'un coach australien: pour les athletes préparant du lg, il leur fait suivre le meme entrainement que les athletes du court plus une séance longue.
Donc volume ne veut pas forcément dire faible intensité. On s'arrache la gueule mais en cadeau bonus on se tartine grassement de sorties en endurance.
/M
moi je préfère la méthode d'entrainement australienne avec le crocodile pour s'améliorer en natation.
Mais je serai plutôt d'accord pour essayer cette méthode...D'ailleurs je vais le faire cette année. On verra les résultats
Quelle méthode ? ôO
/M
voir commentaire au dessus du mien :
entrainement identique à celui du court + une sortie longue
Ben non toi tu ne fais pas la sortie longue...
Tu vas faire la prépa des athletes du court.
/M
le coach australien en question, c'est Brett Sutton, et j'ai lu ça dans "regards d'experts sur le triathlon". Ceci dit, le Brett Sutton est très critiqué pour sa méthode "ça passe ou ça casse". Apparemment, ses athlètes qui ont réussi sont ceux qui ont survécu à ses entraînements sans blessures...
Eh bien pour moi ça va être pareil :
si je n'explose pas dans les mois à venir ça devrait passer.
Pour mister M, je vais les faire les sorties longues, patiente...
Et quand est ce qu'on les fait les 3H de VTT?
lol!
Moi je suis encore en phase d'endurance court alors tes sorties 3h en vtt tu sais ou tu px te les mettre.
Ou alors sans sortie vélo la veille.
/M
Et puis j'm en fout que tu fasses des sorties longues ou pas lol t un gd garcon tu fais ce que tu vx lol
Enregistrer un commentaire