jeudi, août 30, 2012

Retour sur les 24H et bonne chance aux amis!

Bon, ça c'est fait.
De bons moments entre nos 2 équipes à se tirer la bourre et compter les tours, les écarts, les relais, les groupes, halluciner devant les perfs de certains "solo" et regarder des packets d'avions nous doubler.
Pour ma part, 3 relais de 2H entre 15H et 5H30 du matin c'était un peu présomptueux.
Premier relais à bloooccccc. 1ère heure très rapide, je rentre dans les 100, début de seconde heure tout seul pendant quasiment 3 tours, vent dans la tronche sur tout le "retour" du circuit, puis je prends quelques petits groupes.
Retour aux stands après 1h58 et 17 tours de 4.186kms au compteur. Un peu cramé.

Un petit américain-merguez-ketchup + red bull pour la diététique, du repos et à 21h15 c'est reparti!
Le vent souffle toujours, j'essuierai même quelques gouttes.
Départ au taquet durant les 40 premières minutes dans un gros groupe de....3. Je finis bien sûr par exploser et les 1H28 qui suivent sont une grosse galère... pas moyen d'accrocher un groupe. Je me fais lâcher à chaque fois dans la côte "dunlop"... puis face au vent impossible de faire l'effort pour revenir. Je fais même une pause technique sur le circuit. Je suis cuit... 16 tours... notre autre équipe m'a déposé sur ce relais...
Je retourne au camping prendre mon duvet en 34*23... les jambes s'allègent un peu. Je dévore un tupperware entier de salade de pâtes (merci williammmmm et surtout séverine), et tente de dormir un peu en n'osant imaginer le dernier relais. Des enfants ravis d'avoir une trompe et un sifflet encourage sans arrêter les coureurs... ils décident d'arrêter à 3h, heure où je commence à me préparer.
Je m'habille chaudement, rempli les bidons, prend quelques pâtes de fruit puis vais prendre mon relais.
Cette fois je commence mmooolllooo, ne tente pas de prendre des groupes trop rapides, joue l'économie, et je réussis à tenir le rythme et faire quelques tours dans des groupes plus rapide. La fin approche déjà, je savoure mon dernier tour du circuit bugatti. 16 tours en 2h cette fois.

Nous terminons 161ème et l'autre équipe 152ème. Une équipe de 4 demande une bonne préparation pour rouler fort et ne pas dépasser des relais d'1h30 à mon niveau.

Place maintenant aux potes sur le TRI SERIES 190, version "full" pour seb et franck, version "half" pour will.
Faites nous honneur les gars : la victoire ou la mort!

samedi, août 25, 2012

Départ pour les 24H!

En route pour les 24H du mans vélo par équipe de 4. Pour des raisons de logistiques familiales, je vais effectuer mes 3 relais de 2H entre 15H et 05h30 du matin, ce qui me garantie un état de fraîcheur optimal...
Cela étant, n'étant pas monté sur le vélo depuis Embrun, on va voir ce que ça donne!
Place à la cassette 11*23, au peloton, et à mon légendaire "placement"... (CR de la velostar 91: http://triblogantoine.blogspot.fr/2009_05_01_archive.html)

mardi, août 21, 2012

CR Embrunman PART 2

LA COURSE :
Natation :
Tout commence par un petit coup de stress de bon matin…Accompagné pendant 1km par un chien abandonné qui m’aboie dessus comme un mort de faim…. Pose chez mon cousin pour récupérer la caisse de bazard et nous rendre de concert au départ.
Organisation du petit bordel de chacun, passage aux WC après la queue rituelle derrière des triathlètes constipés soudainement, enfilage de la combi, direction la sortie du parc et ….. bouchons du 15 Août… non….Attente du départ des féminines et handisports 10’ avant nous puis on s’avance vers la ligne de départ, dernier encouragement entre mon cousin et moi et…. Bouchons du 15 août bis… en fait la ligne de départ est assez étroite et comme je pensais partir ccoooollll….PAN ! raté pour le départ rapide… 1’45 plus tard je mets enfin les pieds dans l’eau.
Mes collègues triathlètes sont assez respectueux de l’environnement et personne ne donne de coups, n’essaie de monter sur son voisin, ne tire la combi… départ cordial ! Gentlemen, start your engine !
Malgré cela, coincé au milieu du peuple, il est difficile de nager correctement pendant les 800 premiers mètres, puis ça s’éparpille un peu. Je nage à ma main, sans forcer, le premier tour se passe bien, le second aussi, juste la sensation (réelle) d’être un peu juste au niveau des bras avec la combi « manches » dans les 400 derniers mètres.
Sortie en 1H04’45 soit 1H03 de natation hors départ laborieux. Pour l’instant tout va bien (267ème temps).

T1 :
Prendre son temps à une transition est agréable… enfilage d’un cuissard+maillot vélo+chaussures vélo tout de suite (départ en côte… donc on va éviter l’enfilage « au vol ») et c’est parti !
Vélo :
Comme toujours l’allure de certains laisse penser que l’on part sur un IM « classique », pourtant le départ se fait en côte sur plusieurs km, d’un bon pourcentage.
Le parcours fait une première boucle de 44kms avec passage par un petit col, descente assez rapide et moyennement sinueuse puis retour par la N94 vers Embrun sur un parcours« roulant ».
Les constats de cette première boucle sont :
- je n’ai pas un gabarit de grimpeur
- la configuration « semi aéro » est une bonne option car les zones où on peut être posé sur les prolongateurs sont fréquentes, le vent de face par moment et je reprends ainsi sans forcer ceux qui ont pris un peu d’avance en côte
- je descends mal mais ce n’est pas catastrophique
On repart ensuite pour le « gros morceau » par une route en petites montagnes russes et portions roulantes ou encore une fois la position aéro fonctionne très bien. Le vent est toujours légèrement de face, il ne fait pas encore trop chaud.
Plus de 3H de course et l’approche de l’Izoard commence, la chaleur est plus présente, je m’alimente en conséquence. Les pourcentages augmentent puis vient le moment où on attaque le vif du sujet après un virage à gauche. Maintenant c’est tout à gauche pour un bon moment hormis quelques mini plages de récup. Le soleil tape fort, la sueur coule, plus personne ne dit mot parmi les triathlètes, les spectateurs, toujours nombreux depuis le départ, nous encourage avec ferveur. Les panneaux marquant les pourcentages moyens ne quitte plus la valeur 8,X et 9,X. Tout le monde tente de conserver un semblant de fluidité dans le pédalage, la position en danseuse est parfois utilisé pour se détendre un peu, les kms s’égrènent doucement au hasard d’un lacet, d’un passage plus dur que les autres, d’une éclaircie dans la forêt…
Je suis dans les temps du « meilleur chrono vélo espéré »mais je sais que nous ne sommes qu’à la moitié du parcours et que la seconde partie sanctionnera une allure éventuellement trop élevée. Un petit moment de respiration proche du sommet avec une descente dans un paysage lunaire puis le dernier km arrive, les spectateurs se font encore plus nombreux et je pose le pied au ravito perso.
Petit coup d’œil à la montre : 11H38, cela laisse espérer un beau 7H50 à vélo si tout se passe bien ! Le téléphone caché dans la poche arrière marque un grand nombre de messages dont beaucoup de mon poto seb qui suit la course à distance en se projetant sans doute sur 2013 !
J’attaque la descente, rapide, trèèèèss rapide, heureux de ne pas avoir de compteur de vitesse pour ne pas me faire peur… Je reste prudent en n’attaquant pas les freinages à la pancarte « presque trop tard » et me laisse toujours un peu de marge pour l’imprévu. La récup dure 20kms, ponctuée d’une bonne hydratation.
On attaque à nouveau des parties plus ou moins roulantes, ou l’aéro est toujours le bon choix. L’attitude des concurrents a changé, moins dans le « je cherche à suivre l’autre ». Chacun rentre dans sa course, se préoccupant de moins en moins de l’allure de l’autre.
Le vent est toujours de face… le thermique s’est levé…
Puis arrive Pallon. 34x29 encore une fois, en se disant que ça ne durera pas, en conservant un bon rythme de pédalage, un peu plus en force cette fois mais… ça ne dure pas. Les supporters sont souriants, j’essaie toujours de remercier chaque encouragement.
Un peu de descente, un peu de montagnes russes encore, beaucoup de vent, retour vers embrun, chacun encore un peu plus dans « sa bulle »je trouve, et arrivée sur Chalvet que je connais pour l’avoir reconnu il y a 2 jours. Je grimpe sans appréhension, profitant des petits replats pour récupérer, profitant de cette dernière ascension et encore une fois du paysage. La descente est plus sinueuse, le revêtement de mauvaise qualité, la prudence est donc de rigueur mais un doux moment m’attend à 2kms du parc : la route passant en face de la maison, je peux embrasser ma femme, ma fille dans les yeux de laquelle je vois un éclair de fierté qui me réchauffe le cœur, et mon fils qui lui attend patiemment l’heure du biberon, ne s’occupant peu pour l’instant de ces futilités, avec raison.
297ème temps, 20 places de perdues, correct.
T2 :
Speaker Oliv’ me gratifie d’une arrivée qui sera entendue sur la RAM depuis Vendôme, je pose donc le vélo après 9H01’20 de course, et rejoint mon emplacement sous un soleil toujours très (très) chaleureux. Je décline la proposition indécentes de 2 ostéo-masseuses d’un petit massage de jambes sans doute destiné à me faire perdre de précieuses minutes (ma femme lit mon blog…ndlr)
CAP :
Je prends donc l’option : short ample + maillot vélo, ce qui me permet d’emmener le gobelet de l’orga (qui ne me servira à rien, une petite gourde aurait été préférable en raison de l’espacement entre le ravitaillement du 6ème et du 10ème km à chaque tour), les gels (que je ne prendrai qu’avec parcimonie au final), et surtout de rester « humide » en m’aspergeant généreusement. Le maillot vélo conservant plus d’humidité et séchant donc moins vite qu’une trifonction (en plus de protéger du soleil plus efficacement).
Départ extrêmement prudent aux alentours de 9kmh, donc 8.5kmh de moyenne avec les arrêts ravitos. Un rapide calcul me fait penser que les 14H sont peut être jouables, mais encore très très incertains. Le passage de 14H à 15H ou 16H ne tenant au final qu’à peu de choses (coup de chaud, plus de jus, problèmes gastriques, chute, éboulement, séisme, inondation,…).
Je trottine donc, y compris dans les côtes qui ne me font pas mal, y compris dans les descentes qui elles, je le sens, me détruisent les jambes. Un« supporter » me demande si je m’appelle Antoine et me dit que ma famille m’attend en haut de la côte. Sympa ! Un bisou à la famille qui m’attend au 5ème km et qui me voit arriver en trottinant dans la côte contrairement à moultes participants, ce qui les rassure sur mon état.
Je les retrouve un peu plus loin (9ème km), entouré d’un petit staff de supporters généreux en encouragements. C’est d’ailleurs une constante sur le parcours.
Vers le 14ème km je fais un rapide bilan, au 1/3 de ce marathon. Je suis encore en bon état, mais plus entamé que d’habitude sur ce genre d’épreuve, la fin de la cap devrait donc être plus difficile que d’ordinaire.
Arrivé au bord du plan d’eau, je croise mon cher cousin qui en commence avec le marathon. Course bien géré, souriant, je ne pense qu’à le féliciter et l’inciter à la prudence sur les premiers kms !
Je découvre Yannick du SAS TRI qui m’encourage chaleureusement à la fin de la première boucle. Passage à côté de la ligne d’arrivée, encouragement de speaker oliv’ et c’est reparti.
Je me traîne toujours à la même allure. Un petit calcul me fait encore espérer le sub 14H. Je regrimpe la côte et retrouve la famille au 27èmepour la dernière fois et avec grand plaisir. J’ai toujours l’air bien visiblement. Mais je sens bien dans la descente vers le 28/29èmekm que l’allure se réduit. Ce n’est pas trop la douleur qui est constante et supportable, mais simplement l’allure pourtant faible que je n’arrive plus à tenir. Je poursuis encore un peu jusqu’au 32èmemais me rend compte alors que la course n’est plus efficace à cette« vitesse ». Je prends donc le parti de marcher 100m tous les kms. Cela me permet de repartir à 9kmh, puis la vitesse s’écroule à nouveau et je remarche alors un peu. Les 14H s’éloignent lentement, mais sans réel regret. Je suis trop heureux de pouvoir déjà finir honnêtement cette course au regard de l’entraînement réalisé.
Je recroise mon cousin vers le 39ème alors qu’il attaque son second tour, belle synchronisation ! Il a l’air bien et certain de finir. Je ressens une grande fierté à le voir ainsi sur le point de finir EMBRUN et participer à cette course à ses côtés.
A 3kms de l’arrivée un VTT m’accompagne en me motivant gentillement, à 2kms un quad prend le relais et me libère pour le dernier km.
Je ressens les mêmes frissons que sur les IM précédents et le tri séries. Ce petit moment me suffit. J’hurle de choix au moment de passer la ligne.
0 places de gagnées / perdues selon qu’on voit le verre à moitié plein ou vide et malgré le « pétage » des derniers kms et un 5H02 sur le marathon. Surpris agréablement.
C’était une belle journée.
Au final, je n’étais pas là pour me prouver quoique ce soit, réussir un chrono, une place. Mais simplement profiter d’une journée à pratiquer le sport que j’aime, en compagnie de ceux que j’aime. Je ne pouvais pas être déçu.
Retour en 2013 pour 2 semaines de vacances en famille à encourager les potes sur le long, et peut être en 2016 pour mes 40 ans pour tenter un chrono. Mais ça… ce sera une autre histoire, et rien n’est écrit !

CR Embrunman PART 1

Embrun 2012…
Ca commence par un grand merci, merci à ceux qui m’ont supporté, aidé, encouragé durant ces derniers mois, ces derniers jours et ces dernières années… et qui ont subi cette passion stupide pour un sport qui bouffe du temps, de l’argent, des relations sociales et familiales.
Il fallait être un peu lucide pour débuter ce récit !
Embrun 2012 a commencé fin 2011 sur un coin de nappe lors des 30 ans de mon cousin qui se lançait dans l’aventure… le truc classique du « même pas cap » « allleeezzzz »… auquel un homme faible d’esprit, joueur et immature ne peut résister longtemps. Il faut croire que je regroupe les 3 qualités.
Secrètement, il y avait aussi ce désir d’affronter ce fameux embrunman après avoir exploré l’IM sur Nice (5 fois dont 4 finisher et avec un but de performance) et le « très long très montagneux »avec l’Altriman 2009 sur un coup de tête (et un premier « même pas cap’ ! »).
Mon ami Mitch l’avait fait, Kent m’en parlait, les forums en discutaient de diverses façon, mon cousin le faisait… donc quoi de plus sympathique que de le faire en famille et en passant si possible des vacances agréables dans la région !
Il s’agissait là du vrai challenge : me préparer suffisamment pour finir, mais en impactant au minimum la vie familiale déjà bien entamée par les obligations professionnelles. Et sur place, prendre un peu de distance avec la course en dehors de la course elle-même ! Vaste programme.
La préparation a donc été légère : grosse coupure cet hiver, petite reprise au printemps, très peu d’intensité, très peu de volume…
En tout et pour tout 1 sortie 3H, 3 sorties 4H, 1 sortie 6H, 1 sortie« double » totalisant 6H sur la journée, le tout à une allure toujours « IM » en mettant un peu de travail force/vélocité simplement, un half de préparation en Juin… et très peu de cap et de natation.
Ayant comme objectif de « FINIR » dans les délais, je n’avais au final pas trop d’inquiétudes, sans doute rassuré par l’altriman 2009 (à tort ?) pour la natation et le vélo…. Cela dit, pour la cap je savais que cela risquait d’être (très) dur…
Arrivé sur place, paysages superbes, population et commerces plutôt sympathiques (rien à voir avec « le grand sud du mois d’août »), maison à l’écart du centre ville au calme donc idéal pour les enfants et couper avec la course, vue sur la montagne et le lac, fin du parcours vélo qui passe devant la maison… cool.
Petite reconnaissance des 10 premiers kms vélo le dimanche (avec le cousin) et baignade dans le lac.
Petite reconnaissance de chalvet le lundi et baignade dans le lac + 1 tour du lac à pied à bloc… ce qui a l’air d’être une tradition pour tous les futurs embrunman : courir à 15kmh, emballé dans une tenue de combat triathlètique luisante au soleil…
Je trouve que les locaux sont bien sympathique et « zen » de recevoir cette troupe bariolée, le mollet lustré, les bas de compressions omniprésents, la tenue flanqué du M-dot et le sac/tee shirt/casquette « IM de XXX » affichée en trophée.
Je prends pour ma part le sac à dos « IM Nice » Rouge bien pratique pour trimballer les couches+lingettes+tissu pour lange+lait en poudre+bouteille d’eau+biberons+compotes pour la grande+bouteille d’eau pour les parents+…. au bord du lac.
Histoire de faire culture triathlètique locale…
Le mardi rien… mis à part chercher les infos que l’on n’a pas dans la doc de l’embrunman (hors les félicitations de toute la nomenklatura du triathlon et de la région sur les 10 premières pages) pour savoir les quelques petits détails liés à la pose du vélo (vélo ? Sacs ? ravitos ?). Bref, toutes ces petits choses qui angoissent le triathlète et qui ne coûtent pas grand-chose à mentionner en dehors du briefing qui a lieu APRES la pose du vélo au parc… histoire d’éviter les arrêts cardiaques d’avant course et limiter l’explosion du forfait du tél portable.
Bref, tout se passe bien, les bénévoles sont sympas, le site propre, mon vélo a la tête à l’envers (pour moi c’est demain), et je m’aperçois que j’ai la gaine du câble de dérailleur arrière HS. Donc réparation dans le parc avec réglage du dérailleur à l’arrache en me disant que j’ai 188kms pour peaufiner ça demain de toute façon si ça passe mal…
STRATEGIE MATOS :
Combi sans manche (SM) ou combi manche longue (ML) ? That’s the question. Plus grande aisance pour nager avec la « SM », eau à 21°C, beau temps…. J’ai failli faire ce choix… mais l’idée de garder un maximum de calories et de privilégier le « confort thermique » à « l’efficacité de nage » sur ce très long« long » a fini par gagner. Ok pour la « ML » donc. Nota. Cela n’a rien à voir avec les kilogs superflus et un lien quelconque avec les tailles S, M et L… bien sûr…
A vélo : felt SC1 config route + prolongateur long + cosmics carbone SL parce que embrun c’est roulant, venté, et qu’on est triathlète quand même ! Braquets 50/34 et 12/29. Pneus neufs.
STRATEGIE BOUFFE :
Semi autonomie pour pallier une éventuelle déficience des ravitos : 2 bidons de 800ml de boisson énergétique au départ et 2 de 600ml au ravito perso à l’isoard. Arrêt quand nécessaire pour faire le plein de mes bidons totalement et éviter les bidons à moitié plein. Autonomie en« solide » sur le vélo. Pour la cap : des gels (j’en ai pour finir pris que 3 sur les 6, profitant des patates, tomates, et coca mélangé à l’eau fraîche).
STRATEGIE D’EFFORT :
Nat cool, vélo cool mais pas trop, cap départ très lent et attendre que ça pète.

dimanche, août 19, 2012

I'm an Embrunman!

Merci à Sophie, Léa, Nathan, Mitch, Seb, Kent, Jeff, Franck, Michel, Will, Yannick, Yannick n°2,  pour leur soutien, leurs encouragements, leurs félicitations, les séances d'entraînement partagées, les heures d'entraînements supportées...
Le CR dans pas longtemps.
Nat : ok
Vélo : ok
Cap : ok, j'ai pété, c'était prévu, j'ai souffert, c'était prévu, j'ai aimé, c'était prévu.

14H09 et 282ème... il a fait chaud!

jeudi, août 09, 2012

Allez... Balance!

Ce n'est pas parce que la prépa est light, que les ambitions sont de passer une bonne journée, qu'il est impossible de tenter éventuellement d'avoir quelques espoirs ou idées de ce qu'il est peut être envisageable de faire...
Ayant participé à un triathlon "long" en montagne (altriman) et mon poulin préféré (Mitch) ayant quant à lui déjà fait embrun, je peux émettre les hypothèses suivantes si la météo et la mécanique ne s'y opposent pas :
Natation : 1H10 en nageant cool
Vélo : 8H30 et s'approcher des 8H?
Cap : Approcher des 4H45?

Verdict dans quelques jours...

dimanche, août 05, 2012

L'heure solennelle du bilan

Pour les fanas de statistiques, de bilan, de prépa, de petits et gros volumes, voici les totaux depuis le mois de Janvier.
Je ne mets pas ici par décence les totos (sisi) d'octobre à décembre.
C'est un fait particulier cette année : une quasi coupure totale puis de petites séances sans aucune intensité d'octobre à décembre (30' cap/30' HT/30' strechcordz par semaine).
L'impact a été un déficit de puissance à vélo que je n'ai pas su reprendre avec un entraînement "light" puis un peu de volume mais sans grosses intensité (incapable d'encaisser le cumul des deux).

TOTAL du 01/01 au 05/08 : 173H
Natation : 20H41
Vélo+HT : 83H50
Cap : 54H44
Strechcordz : 13H44

Découpage : Strech+nat / HT+Vélo / Cap

Janvier : 1h34/1h30/8h37 (prépa Raidnight)
Février : 5h33/3h01/8h59 (inclu 5h15 du Raidnight)
Mars : 3h12/4h12/4h34
Avril : 5h32/8h07/8h11
Mai : 8h48/10h57/6h16 (sprint villiers)
Juin : 5h15/17h14/6h57 (half mansigné)
Juillet : 4h32/32h06/10h13 (sprint CLM Chartres)
Août (5 jours) : 0/6h43/57'

Fin de prépa

Une dernière petite séance vélo de 4H ce jour pour parfaire la petite préparation pour embrun. Maintenant place à la récup en douceur, à l'affutâge à base de hamburger, kebab, pizza et glaces. Et rendez vous le 15 Août pour une loonnnggue journée!