TRIBLOGANTOINE
Dis Monsieur, dessine moi un IRONMAN....
mardi, octobre 06, 2020
lundi, octobre 01, 2018
Préparation Toursn'man 2019
Octobre arrive, ce qui m’amène doucement à M-8 du Toursnman.
Après le challenge « moins de 11H avec
4H/semaine » réussi sur l’édition 2018, et un demi ultratrail réalisé 3
semaines plus tard sur l’ultramarin, j’ai mis le mode « off » sur
l’entrainement et les objectifs sportifs.
L’envie de rester en mode « entretien », sans
contraintes de 4 à 8 entrainements semaines s’est concrétisée. De même que le
souhait de conserver quelques petits challenges sportifs annuels pour se sentir
vivant.
La redécouverte du surf, en famille, est sans doute
également un élément de transfert des priorités loisirs.
Bref, je me suis réinscrit pour le Toursnman 2019, parce que
c’est tout prêt, parce que c’est le moyen de passer l’hiver avec un objectif
pour les premiers beaux jours, parce que j’ai trouvé un nouveau petit
challenge.
Ce sera donc une « préparation » à base de 3
séances d’entretien par semaine : 1 séance dans chaque discipline, durée
non définies, mais sans doute un départ sur 40’ de chaque pour le moment, et
des allongements de séances à l’envie, à l’occasion. Avec, pourquoi pas, un IM
sur 3 jours au mois de Mai ?
Pour la blague, j’ai donc revendu mon beau slice
« black carbone edition », je roule en VTT dans les bois pour ma
séances hebdo, ou sur route/HT avec un pneu « route » à l’arrière.
J’expérimente une transformation « VTT aéro »
simple : Pneus route 25 et 28mm sur mes jantes d’origine, baisse du
cintre, mise en place d’un prolongateur et…. c’est tout. J’ai aussi récupéré un
superbe cadre centurion Helldrive, presque neuf. A voir si je fais un montage
perso avec le matériel qu’il me reste dans le garage…
Bref une année 2018-2019 sans prise de tête, avec un IM peut
être long et difficile au mois de Juin, mais une nouvelle expérience qui
m’amuse et me permettra encore de me découvrir.
dimanche, septembre 02, 2018
Fin du défi 42.... vive le Défi 43!
Le Toursn'man bouclé en moins de 11H.
Place au Toursn' man en VTT
C'est toujours là!
http://defi42.blogspot.com/
Et là :
https://www.facebook.com/pg/defi42ans/posts/
Place au Toursn' man en VTT
C'est toujours là!
http://defi42.blogspot.com/
Et là :
https://www.facebook.com/pg/defi42ans/posts/
mardi, mai 29, 2018
Brevet cyclotouriste Laval – Cancale – Laval 2018, 261kms de balade !
Le plus désagréable dans cette journée aura sans doute été
le réveil… Debout 4H25 après une semaine bien chargée, et des nuits perturbées
par une rhino persistante chez le petit dernier. Mis de côté la première pensée
« mais qu’est ce qui me prend de faire des trucs à la c… comme
ça », j’envisage avec plus de plaisir la journée : beau temps annoncé
(restera à espérer qu’on zigzagera entre les orages), parcours à priori sympa,
restaurant réservé, et pauses boulangeries planifiées. Pour le reste, on a pas
mal de choses à se raconter avec Jérôme. Lui me fera bénéficier de ses conseils
pour l’ultramarin qu’il a déjà couru, et pour ma part je partagerai mon
expérience de l’IM pour son premier à Tours.
Petit rappel du contexte. Dans le cadre de la prépa
Tours/Ultramarin, j’avais planifié :
- M de Villiers enchainé avec une sortie vélo 3H allure
« IM cool » dans l’optique de l’IM.
- Longue sortie vélo mode balade dans l’optique de
l’ultramarin pour que mon corps et mon cerveau « apprennent » la
« normalité » d’une longue journée de sport (théorie du gouverneur
central de Tim Noakes).
La fin de semaine a été plutôt light avec 40’ de HT séance
PMA le vendredi pour seule séance d’intensité, et 40’ de cap le jeudi allure
souple avec 6 lignes droites. Un peu de natation (35 et 37’) le midi.
Nous voilà donc une petite 20aine à 6H du matin dans le
centre de Laval, à notre arrivée la moyenne d’âge des participants a baissé
d’une grosse dizaine d’année. L’ambiance est bonne enfant : un café, un
morceau de 4/4, une photocopie de carte routière avec un trait aller/retour en
gras, un petit road book avec quelques noms de villages et routes et en route.
Le temps est couvert mais doux, jérôme et moi prenons la
route 15’ après tout le monde, avec nos vélos aéros dont les reposes bras ne
nous serviront pas beaucoup aujourd’hui.
Très peu de voiture, peu de vent, un peu de
« jardinage » aux intersections le temps d’apprendre à lire la carte
et tenter de faire correspondre des numéros de route et noms de village
différents entre le road book et les panneaux. Mais cela nous fait rire et nous
apprendra à mieux préparer le parcours.
La moyenne de sénateur nous permet d’arriver au 70ème
km et faire pointer notre carte de « brevet », manger quelques
madeleine, du jus d’orange, recharger les bidons et échanger quelques mots avec
le 2ème groupe arrivé avant nous.
C’est reparti. Je prends la stratégie de m’alimenter
relativement peu. Nous passons le groupe 2 et on s’amuse pendant 45kms en se
relayant sur l’aéro une fois une route un peu plus large et monotone rejointe.
Puis le parcours longe la baie du mont st michel sur une 10aine de kms (dans la
brume), vent légèrement de face, et emprunte quelques côtes pour ensuite
redescendre sous le soleil à Cancale.
127,8kms parcourus en 5H20 pauses comprises. Place à une
moule-frite délicieuse en bord de mer, sous le soleil, un café, le reste de
gatosport, la recharge des bidons et en route pour le retour ! Nos
compagnons de route sont presque tous repartis, et nous ne les reverrons pas…
Certains avaient déjà roulés 200kms lundi, d’autres préparent un brevet 400kms
ou 600kms pour juin. Pas de facebook ni de blog pour vanter les exploits…
simplement le plaisir de se faire plaisir et s’entretenir en réalisant des
choses que beaucoup de plus jeunes ne seraient pas capables de réaliser. Ils
vont plus doucement que nous mais…. Beaucoup plus longtemps !
Les jambes vont bien, pas de douleurs particulières mis à
part la nuque qui n’a pas l’habitude de balades aussi longues, mais rien
d’embêtant. Jusqu’à Dol route monotone, puis bucolique, y compris un passage à
pied dans une zone de chantier (un terrain miné plutôt !!!). Le soleil
chauffe, mon compère a réduit un peu la vitesse, on papotte.
Retour sur la D754 au niveau d’un borne kilométrique n°47…
comprendre qu’il y a 47kms jusqu’à Vitré… La route est faite de
lonnnnggguuueesss lignes droites en montées /descentes permanentes. Une pause
boulangerie à Sens de Bretagne nous permet de faire tamponner notre précieux
carnet, un ravitaillement salé/sucré bienvenu et détendre un peu les
articulations. C’est reparti pour une traite de 35kms jusqu’à Vitré. Jérome
reste au chaud derrière moi et je me cale sur son rythme. Nous progressons
lentement mais sûrement dirait le sage. Le temps reste beau, le château de
Vitré est contourné et nous nous offrons une pause place de la gare en terrasse
d’une nouvelle boulangerie le temps de laisser passer un nuage d’orage. 30’
plus tard, après avoir appelé le GPS au secours pour trouver la bonne
direction, nous repartons pour les 40 derniers kms. Sortie de Vitré, la route
récemment arrosée par une pluie d’orage nous renvoie une fraicheur appréciable.
Les kms se font de plus en plus léger à mesure que l’objectif approche. Nous
empruntons une partie du parcours du marathon qui se déroulera le lendemain et
c’est bientôt l’arrivée.
133,2kms pour le retour en 6H20 pauses comprises.
Un sandwich au paté plus tard et notre précieux carnet
tamponné à nouveau, chargement des vélos dans le coffre et retour Maison sous….
De terribles orages ! C’est ce qui s’appelle un bon timing.
Pour l’anecdote, dimanche séance natation et petite cap
souple. Mis à part un releveur du pied droit qui est un peu douloureux, RAS.
Le lundi… grosse fatigue, après une nuit un peu écourtée et
un bon rhume cadeau du petit. Donc programme allégé pour la semaine !
dimanche, mai 27, 2018
Vendome 2018 : un "M" pour Nouveauté
Petit rappel du pourquoi le M et pas le L. Ne sachant pas au
moment de l’inscription quel serait la qualité et la quantité de ma
préparation, un L à 3 semaines d’un IM me semblait un peu risqué pour optimiser
la fin de préparation. J’avais donc décidé lors de l’inscription de partir sur
le M en me programmant le lendemain, jour de mon anniversaire, un petit
parcours par des chemins que j’apprécie du côté de Lavardin, Montoire, Troo.
Au final la préparation a pu être de qualité, et le L aurait
pu être possible. Mais puisque c’était mon premier M après 13 ans de triathlon,
autant en profiter !
Dans la semaine précédant la course tout a failli pourtant
changer. Le relais vélo de l’équipe de ma femme étant out, il fallait chercher
un(e) remplaçant(e). Le jeudi il était encore envisagé que je sois DNS au M et
fasse le vélo du L, avec une inscription sur le S le samedi pour faire un peu
de rythme. Au final, grâce à l’aide de Franck, le coach du club, un « jeune »
s’est proposé et je pouvais me recentrer sur ce premier M, en compagnie de Seb
et Alban, tous les 2 également en préparation du Chtriman.
Jour de la course, pas de stress particulier, j’encourage
les amis qui sont sur le L et partent avant nous, je les suis à la sortie de l’eau,
tout est ok pour eux. Le temps est beau et il fait déjà chaud, le vent monte
progressivement. Dépose du vélo, la flemme de mettre les chaussures sur les
cales, enfilage de la toute nouvelle combi qui me convient parfaitement, et
direction la plage de départ. On se souhaite bonne course, je fais trempette,
et reste en première ligne. Nous ne sommes que 250 et la plage est assez large.
De plus l’ambiance n’est pas « coupe du monde » et les triathlètes
plutôt cool, j’aime.
Départ, je prends un rythme en amplitude et soutenu juste ce
qu’il faut, les sensations sont bonnes, la combi me va comme un gant, je ne
sens pas les bras en « tension ». Ca ne bastonne pas, je nage droit,
tout va bien. Juste avant la fin de la première ligne droite (environ 400m) je
vois un bonnet jaune à quelques encablures, ce doit être Alban, il n’est pas
trop loin et ne zig zag plus à présent J.
Je ne nage donc pas trop mal. Fin de la première boucle, coucou aux supporters
et à la famille, je replonge toujours sur le même rythme. Je suis devant le « peloton »
et il y a un gros écart avec le groupe devant moi (et le bonnet jaune d’alban).
Je sors en 26’ tout rond à ma montre, ce qui correspond à la 24eme place d’après
les mots de ma chère et tendre le long des barrières, et ce qui ne correspond
pas à mon classement « normal » sur 250 puisqu’il y a 1’ avec le
23eme, ce qui laisse de la place pour un paquet de triathlètes avec une densité
plus importante (du costaud sur le S la veille, et du costaud sur le L).
Transition où je prends mon temps, enfilage de pédales
prudents à la sortie du parc et c’est parti pour 46kms et des poussières. Les
sensations sont bonnes, je pousse et tire sur les pédales, m’hydrate tout de
suite. Le vent souffle et je remonte progressivement en comptant les places
gagnées. Je finis par remarquer que j’ai du mal à trouver le bon rythme. Je
suis sur une allure « L » sur le plat, et je mets plus de watts dans
les faux plats et cotes. Le rythme du M ne m’est pas connu et je n’ai pas l’expérience
pour le gérer au mieux. Ca avance tout de même pas mal, malgré le vent plus
fort cette année, on échange quelques mots avec les triathlètes que je passe. L’ambiance
est vraiment sympa. Mention spéciale au Gars d’Orsay que je passe vers le 38ème
et avec qui l’histoire va continuer jusqu’à l’arrivée.
Je reviens sur un petit « groupe » à quelques kms
de l’arrivée et on pose le vélo ensemble de la 10eme à la 15eme place. 8ème
chrono vélo, un peu plus de 35,5 de moyenne. Durant les premiers mètres de la
transition j’ai le fessier gauche qui est douloureux mais la douleur passe une
fois le vélo posé et les chaussures enfilées. Olivier Bachet l’animateur
demande pourquoi 9 enfants m’ont encouragé en criant « papa », ce qui
me fait bien marrer.
Bien entendu je me fait déposer à la sortie du parc J. Mais les sensations
ne sont pas mauvaises et je pars « rapide mais raisonnable ». Les kms
passent et l’écart avec 2 des bips-bips qui m’ont passé se stabilise sans
pouvoir présager d’une éventuelle possibilité de « revenir ». Je me
fais reprendre par mon gars d’orsay entre le 4ème et le 5ème
km, on échange quelques mots puis il prend le large. Je me fais passer à
nouveau juste après la descente puis une nouvelle fois 1km plus loin. Cela dit
j’en vois 3 devant qui ne me prenne aucun mètre et j’arrive à maintenir mon
rythme sous la fraicheur du chemin abrité par les arbres, en bord du Loir.
Je finis par en reprendre 1 en sortie du village de
Rochambeau. Puis j’aperçois 2 au loin sur lesquels j’ai l’impression de
grapiller les mètres. J’aime cette sensation d’avoir réussi à maitriser ma
course pour donner le meilleur de mes capacités du « jour », que ce
soit pour finir en fond de classement ou dans le premier quart. Je trouve que
si c’était possible, le vrai classement devrait être là.
Et je ne dis pas cela parce que je suis incapable d’aller
chercher la tête de course J.
Simplement que l’aboutissement de la pratique d’un sport me semble être la
connaissance de soi et la capacité à tirer le « meilleur » de soi
malgré les conditions physiques/psychologiques/extérieurs qui sont toujours
différentes.
Bref, je grapille. J’en passe un qui me semble « dans
le dur » à 1km de l’arrivée, puis
je remonte sur mon gars d’Orsay. Une fois à une 20aine de mètres derrière lui,
à moins de 500m de la ligne, je lui crie de ne rien lâcher, que je ne vais pas
le rattraper si prêt de l’arrivée ! J’arrive à sa hauteur à 300m de l’arrivée.
Il m’encourage à passer devant avec sympathie en me disant « bravo, bonne
gestion de course ». Je finis « vite » (avec toute la relativité
que cela signifie J)
et franchis la ligne en 14ème position encouragé par mes enfants et
les amis. J’attends mon gars d’orsay que je remercie chaleureusement de m’avoir
« tiré » ainsi sur la dernière moitié de la cap. Je retrouve Seb qui sirote
tranquillement un coca au buffet d’arrivée.
La journée se poursuit, les amis et collègues de club
arrivent les uns après les autres. Pas de blessé, de belles perfs, un premier
Half pour mon ami Alain, quelques coups de soleil, et un petit coup de chaud
pour madame dans son relais.
Je suis prévenu par une amie qu’on m’appelle sur le podium « vétéran »,
ce qui est sympa même si la performance est à relativiser. Cela fera une coupe
pour mon « petit » et une bonne bouteille pour les amis.
Epilogue : comme prévu le lendemain, mon auto cadeau d’anniversaire
avec la balade prévue de longue date, sous le soleil. Un régal. Pas de fatigue,
position aéro, allure « IM ».
samedi, octobre 21, 2017
DEFI42 : c'est lancé
Si vous voulez me suivre dans mon défi 2018, c'est là que ca se passe : http://defi42.blogspot.fr/
La page facebook : https://www.facebook.com/defi42ans/
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dimanche, septembre 17, 2017
2018 : l'année du défi 42.....ans
L'inscription pour le Toursn'man 2018 est validée et ce sera l'occasion de tenter un truc qui s'est construit doucement après l'experience tremblant!
Donc pour 2018 on part sur un site Facebook pour suivre une expérience....
La suite à venir!
Donc pour 2018 on part sur un site Facebook pour suivre une expérience....
La suite à venir!
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