C'est ce que m'a annoncé le médecin hier... à juste titre, sur un ton de compassion.
Les symptômes des premières semaines d'arrêt de l'entraînement : difficulté à dormir, prise de poids (bon, ok, je me cherche des excuses), enchaînements rhume-sinusite-rhume, humeur variable, transfert sur le boulot, etc... sont donc les mêmes que ceux d'un fumeur ou un alcoolique en sevrage (dans une moindre mesure).
J'ai tenu bon, à grands renforts de chocolats, lasagnes, apéros, viennoiseries, paquets de bonbons, restaurants,... et je commence à m'en sortir.
J'ai fait un début de rechute avec une première participation à une cyclocross sur toulouse en compagnie de Jeff... L'honneur est sauf, je n'ai pas terminé la course sur panne mécanique. Par contre je suis heureux de constater qu'il y a plus bourrin que le triathlon et que ce genre de discipline est un très bon exercice pour travailler le "qualitatif" et faire chauffer la carte vitale!
J'ai également subi une pression honteuse de la part de 2 "triathlètes" pour une participation hypothétique à un triathlon montagneux du sud de la france se déroulant un jour férié. Après des heures d'harcèlements, ils ont tenté d'extraire des aveux sur un bout de nappe en papier, aveux qui n'ont aucune valeur juridique étant donné les conditions dans lesquelles ils ont été obtenus (garde à vue sans mise à disposition de mon avocat entre autres choses).
Bref, tout va bien, je vais mieux, je mange de la soupe le soir à l'apéro, je souffre en footing à 12kmh, je me fais larguer par les petits jeunes dans les côtes en VTT et je commence à oublier le goût du chlore...
...
...
...
Sinon, vous mettez quoi comme développements à Embrun? c'est pour un ami...
3 commentaires:
niarf niarf niarf.
Bah 56x11 pour les descentes :-)
faut un triple alors...
Enregistrer un commentaire